Chapitre 2 « L’alliance »
Pendant ce temps, dans les couloirs obscures du château que l’on nommer Morna, un messager chercher le roi dans l’espoir de lui confier le parchemin d’Elendur, quand, enfin au détour d’une passage, il se retrouva face à face avec le souverain qui le dévisagea
« Que vient tu faire ici !? » lui dis il sur un ton de reproche « même en temps de paix, Nïnque n’ont rien à faire en ses murs » le serviteur courba le dos et lui tendis le rouleau de papier sans ajouter quelques mots, celui-ci été fermer par le sceau du roi. Quand Maeglin l’eu prit, le jeune homme fit demi tour en direction de la sortie tendis que le roi continua son chemin vers la salle du trône ou l’attendais une montagne de paperasse à qui il n’adressa pas un regard comme à son habitude. Après avoir prit place, il hésitait quelques minutes à déplier le parchemin mais s’y accorda finalement, il était rare de recevoir des textes venant de l’autre royaume et curieusement il voulu savoir ce que l’on pouvait bien lui vouloir aujourd’hui.
Il déchira le sceau de cire et parcouru rapidement le texte sans sourciller après l’avoir lue, il jeta le papier par terre et leva la tête tout en réfléchissant… Evidemment qu’il aller accepter, même s’il n’était pas particulièrement attirer par une bataille, il semblait qu’il n’avait pas trop le choix, son rang de roi ne l’enchantait guère et il avait toujours prit ses obligation à la légère mais là, il s’agissait de tout un peuple, de vies qu’il faudrait défendre plus que de murs, de sa sœur qui vivait maintenant au coté de Elendur, et de celle qu’il aimait. Il avait déjà gagner une bataille à Linean en repoussant l’ennemi, là il faudrait tout sauvegarder, la cité de ses ancêtres et tous ses habitants. Il appela son propre messager, et le chargea de transmettre sa réponse au roi Nïnque.
Le lendemain, l’annonce fut faite au peuple et la panique s’en suivit fatalement, de nombreux villageois s’ajoutèrent au chevaliers et les jours et les nuits qui suivirent ne fut que longs et durs entraînement au combat pour tous hommes de la cité, tendis que Femmes et enfant se préparer à aller s’abriter dans la forêt Amatire.
« Je refuse de m’enfuir sans toi ! » hurler une voix qui se répandait dans les couloirs de Nïnque par la puissance de son cri, Lotsë, nouvelle reine et femme d’Elendur pleurer en serrant son époux contre elle, effrayée des évènements qui aller bientôt se passer. « Je ne veux pas te perdre, tu es la seule personne que j’ai jamais aimé, la seule qui ai jamais réussi à me comprendre, tu es trop précieux pour moi ! Si tu meurs, je me donnerais la mort ! » Un court instant, il n’y eu que le silence dans le pièce et L’homme sera la jeune elfe contre lui, le visage défait il ne savait que répondre à sa jeune épouse « je.. Lotsë comprends moi, j’ai une guerre a mener et je ne pourrais pas me battre en sachant que tu es peu être en danger… sois raisonnable, tu porte notre enfant et je veux que vous soyez en sécurité, loin d’ici… et s’il m’arrive malheur, il te faudra être forte, tu porte l’avenir de la cité, si je disparaît, c’est à toi que revient la charge de mener notre fils sur le trône, Eärendil ne dois jamais disparaître, nous gagnerons, même si cela dois se faire sur des ruines, nous ne disparaîtrons pas, il faudra reconstruire » Lotsë leva les yeux, tendis que son époux lui essuyer les joues de ses larmes « je… » La reine avait maintenant du mal à savoir que faire, elle porta la main à son ventre, qui avait prit beaucoup d’ampleur en quelques mois et répondis finalement à contre cœur « je ferais selon ton désir… »
Dans toute la cité, la tension était à son comble, les gardes continuer de faire leurs rondes mais les voleurs et assassins semblait avoir déjà quitter les murs de la cité en toute hâte… qui ne le comprendrais pas d’ailleurs, la mort venait vers eux et beaucoup partirais sans se préoccuper du futur des royaumes et de ses alentours. Les racailles les premières, il semblait que la guilde des voleurs avait été démantelée et seuls quelques crimes sans importances étaient encore perpétués.
Elendur avait maintenant reprit place sur son trône, il semblait attendre, le visage grave tout en réfléchissant quand la grande porte de la pièce s’ouvrit à la volée et qu’un homme agitant le bras couru vers lui à toute vitesse, le roi se leva et marcha à sa rencontre pour presque lui arracher le parchemin des mains que celui-ci fut à sa portée. Il le parcouru rapidement et s’enchanta de ce qu’il y faisait écrit. « Va porter cela a Sire Boren, tu le trouveras dans la cours » et l’homme s’empressa de repartir hors de la pièce, laissant les portes ouvertes derrière lui. Une servante entra dans la pièce et vint déposer une chope sur la grande table qui faisait face à la chaise du roi mais celui-ci n’y accorda pas même un regard, apparemment il continuais d’attendre quelque chose tout en réfléchissant
« Les deux royaumes sont unis, c’est une bonne chose mais je crains que cela ne sois pas suffisant à notre victoire… il ne reste qu’un mince espoir malheureusement, j’espère ne pas voir celui-ci s’éteindre. »
Sujet: Chapitre 2 ~ L'alliance 
